Catherine Pozzi  

 

 

 

 

La grande amour que vous m'aviez donné

Le vent des jours a rompu ses rayons

Où fut la flamme, où  fut la destinée

Où nous étions, où par la main serrés

Nous nous tenions.

 

Mais le futur que vous attendez vivre

Est moins présent que le bien disparu

Toute vendange à la fin qu'il vous livre

Vous la boirez sans pouvoir être qu'ivre

Du vin perdu.

 

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